Lancement de l’Appétisserie : notre nouvelle marque bio, gourmande 100% Made in France

Jusqu’à maintenant l’offre en biscuits sucrés et salés au rayon bio rimait peu avec gourmandise assumée. Forts de notre expertise du secteur, de la nutrition et surtout du goût nous nous sommes lancés comme défi de combler ce déficit d’offre en faisant appel à des inconditionnels gourmets pour créer l’Appétisserie. Au menu des biscuits et gâteaux sucrés et salés avec une liste courte d’ingrédients de qualité, 100% bio, soigneusement sélectionnés et issus de filières locales. Comme s’ils avaient été faits maison ! 100% élaborée en France, l’Appétisserie s’adresse aux consommateurs en quête de gourmandise, d’authenticité et de transparence.

Adeptes du bio, les Appétisseurs sont curieux, aiment expérimenter de nouvelles saveurs en famille, et cherchent une offre responsable mais aussi séduisante. Ils aiment également faire partie d’un projet commun, collaboratif, qui donne du sens à leurs habitudes de consommation.

Retrouvez tous nos produits sur www.lappetisserie.com

D-DAY : une journée pas comme les autres

Après avoir trépigné d’enthousiasme, nous sommes fiers d’avoir donné rendez-vous ce matin aux équipes de bio-acteurs dans notre nouveau siège : La Ruche !
Un grand BRAVO à l’équipe projet et MERCI à tous pour votre bonne humeur qui nous permet d’introduire un nouveau chapitre de l’histoire Bjorg Bonneterre et Compagnie ??

Bjorg Bonneterre et Cie bientôt dans la Ruche !

Ce Vendredi 28 Septembre 2018, le groupe Cardinal a livré le bâtiment du nouveau siège social, « la Ruche ». Les étapes à venir sont l’aménagement intérieur et extérieur avant une installation finale des équipes prévue le 17 Décembre. 
Découvrez les premières photos de la Ruche, en cliquant ici !
 
Source : Le Progrès | 04/10/2018 | Laurène Perrussel-Morin
 

 
 

Bjorg Bonneterre et Cie se mobilise pour le don du sang !

Dans le cadre de la Journée mondiale des donneurs de sang, Bjorg Bonneterre et Compagnie et ses marques se mobilisent pour le don de sang en France !

Donner son sang est un acte citoyen et solidaire qui permet de soigner, chaque année, 1 million de malades. Sensible à cette cause, Bjorg Bonneterre et Compagnie s’empare de l’opération #MissingType qui consiste à masquer les lettres « A », « B », « O » correspondant aux lettres des groupes sanguins.

Du 11 au 17 juin, Bjorg Bonneterre et Compagnie et ses marques Alter Eco, Bjorg et Bonneterre vivent à l’heure de #MissingType et masquent les lettres « A », « B », « O » de leurs profils sur les réseaux sociaux, et oui, ce n’est pas un bug !

Bjorg-Bonneterre-AlterEco-et-Compagnie
 

Pour l’occasion, nos collaborateurs ont souhaité partager quelques messages avec vous : 

 

Vous aussi prenez part au mouvement  #MissingType !

Supprimez les lettres « A », « B », « O » de vos profils sociaux et de vos signatures de mails et donnez votre sang dans l’un des nombreux points de collecte de l’Etablissement Français du Sang

Etude : les nouveaux comportements alimentaires des français

 

Demain, tous flexitariens ?

Veganisme, flexitarisme, produits sans gluten, sans lactose… Aujourd’hui, un nouveau vocabulaire « alimentaire » a pris d’assaut les rayons. Force est de constater que les comportements alimentaires des Français et leurs modes de vie ont fortement évolué ces dernières années. Mais si la croissance économique de ces marchés est bien réelle, quelles sont les motivations profondes de nos concitoyens et comment les analyser ? Nous avons réalisé avec OpinionWay une étude pour comprendre ce qui se joue aujourd’hui et ainsi mieux anticiper ce qui sera demain dans notre assiette !

 

Parmi les enseignements de l’étude

 

– 1 –

La consommation de produits alimentaires responsables continue à croître fortement au sein de la population française, même si le coût de ces produits reste dissuasif.
 

– 2 –

Les régimes spéciaux, notamment le flexitarisme alimentaire se développent.
Les moins de 35 ans sont les plus concernés : 27% des 18-24 ans et 23% des 25-34 ans déclarent avoir adopté un régime spécifique. Les préoccupations de santé sont le principal moteur de ce changement de consommation alimentaire.
 

– 3 –

Plus d’un tiers des Français se tourne vers des magasins spécialisés, 22% déclarant avoir des difficultés à trouver des produits correspondant à leurs nouvelles pratiques alimentaires.

 

Consommer mieux oui, mais à quel prix ?

 

Le boom d’une alimentation « responsable »…

Les Français se tournent de plus en plus vers des alternatives alimentaires aux produits issus de la production conventionnelle : 85% d’entre eux disent consommer des produits de saison, 63% des produits issus de l’agriculture biologique et 54% s’orientent vers des produits issus du commerce équitable. Dans ce contexte, les produits issus de l’agriculture biologique, font figure d’alternative particulièrement crédible. Ils sont perçus comme étant de meilleure qualité (76%) et avec des effets positifs sur la santé (72%).
En réponse aux scandales alimentaires récurrents et à une prise de conscience plus affirmée des enjeux environnementaux, ils jugent également que consommer des produits biologiques permet d’être plus sûr de la traçabilité des produits (67%) et de se prémunir face aux scandales alimentaires récurrents (63%).
 

…freinée par le prix des produits bio ?

Toutefois, si la consommation de produits alimentaires plus responsables s’est généralisée, il ne s’agit pas pour autant d’une consommation exclusive. Moins de 5% des Français consomment uniquement des produits issus de l’agriculture biologique ou du commerce équitable (4% très exactement). En d’autres termes, les Français panachent leur panier de courses, mixant produits bio, locaux et équitables et ceux issus des méthodes de production conventionnelle.
L’une des principales raisons : le prix. Les personnes aux revenus les plus élevés consomment davantage de produits biologiques, de saison et issus du commerce équitable. Intégrer les produits biologiques à son alimentation et à son mode de vie a un coût que les Français ne sont pas toujours prêts à payer ou en tout cas pas pour tous les produits.
Mais la prise de conscience est réelle : ils sont donc logiquement prêts à faire des efforts financiers et pourraient payer plus cher les fruits et les légumes (55%), la viande (39%), les œufs (37%), le poisson (32%) ou encore les produits laitiers (31%).
Daniel Tirat, notre directeur général analyse : « Nos concitoyens cherchent à consommer de manière plus responsable. Toutefois, le passage à l’acte est encore partiel, fortement conditionné par le prix. C’est la difficulté de l’enjeu, certes le coût est un frein mais si l’on veut faire des produits de qualité, on doit rémunérer l’ensemble des acteurs de manière satisfaisante, sans répéter les travers de l’agriculture conventionnelle ».
 

Nouvelles tendances alimentaires : où en sont les Français ?

 

À quelle sauce mangera-t-on demain ?

Selon notre étude réalisée avec OpinionWay, quasiment 1 Français sur 10 (9%) évite complètement certains aliments comme le gluten, le lactose ou encore les allergènes. Ainsi, 9% des Français ne consomment que certaines catégories d’aliments et 17% des Français ont adopté un régime alimentaire particulier. Parmi ces derniers, 11% se considèrent comme flexitariens (c’est-à-dire réduisent leur consommation de protéines animales), 2% déclarent être pesco-végétariens, 1% sont végétariens, 1% sont végétaliens et 2% sont vegan (donc refusent l’exploitation animale sous toutes ses formes).
Par ailleurs, la part des Français consommant des produits « sans » de manière occasionnelle seulement, sans être donc dans une logique de tendance alimentaire, augmente de manière significative. Ainsi, dans ce cas de figure moins restrictif, ce sont 17% des Français qui consomment des produits sans lactose et 14% sans gluten.
L’étude révèle néanmoins que 3/4 des Français ne suivent aucune tendance alimentaire (75%). Alors, effet de mode ou vraie tendance de société ?
Pour Daniel Tirat : « l’étude confirme l’émergence d’un nouveau type de consommateur : le flexitarien. Il ne bannit pas la viande mais en réduit fortement la part. La proportion de flexitariens est certes minoritaire (11%) mais non négligeable, car en croissance continue. On le voit d’ailleurs bien avec la forte croissance du marché du végétal : +58% en 2016 ainsi que de celui de la bio, qui sera amené à doubler dans les 5 ans à venir. Il faut aussi mettre cette tendance en perspective avec des évolutions antérieures, chez nos voisins anglo-saxons par exemple, qui ont, bien avant nous, limité leurs apports en protéines d’origine animale. La marge de développement sur l’ensemble de ces segments est donc encore très importante en France. »

 

La santé, raison numéro un pour adopter une de ces tendances

Ils ont adopté une « tendance alimentaire » : qui sont-ils ?

Plus sensibles aux questions de bien-être et de santé, près du quart des femmes (24%) déclare avoir adopté un régime alimentaire spécifique, contre seulement 9% des hommes. Elles se déclarent en majorité flexitariennes (16%, contre 6% des hommes) et 3% d’entre elles affirment avoir adopté le véganisme. Ces nouvelles pratiques alimentaires concernent également surtout les personnes les plus jeunes (27% des personnes âgées de 18 à 24 ans contre 10% des personnes âgées de 65 ans et plus) ou encore les cadres et personnes occupant une profession intellectuelle supérieure (24%).

L’adoption de ces régimes alimentaires spécifiques correspond à un véritable changement de mode de vie pour les personnes qui s’y engagent. Les raisons : la volonté d’être en meilleure santé (53%), la protection de l’environnement (39%) et la volonté de protéger la cause animale (31%). Elles dénoncent également les pratiques de l’agriculture conventionnelle et déclarent que leur régime alimentaire permet d’assurer une rémunération plus juste de la filière biologique (27%). On remarque également, chez les flexitariens comme chez les personnes ayant adopté des régimes «sans», l’envie d’être en meilleure santé qui prédomine (67% pour les premiers et 49% pour les seconds).

 

L’équipe Bjorg,Bonneterre&Cie

 

Sondage OpinionWay pour Bjorg, Bonneterre et Compagnie

 

Consulter l’intégralité de l’étude

 

Pesticides : Oui, on peut se passer du glyphosate !

Un récent rapport scientifique décline les alternatives au glyphosate, un herbicide suspecté de provoquer le cancer. Très utilisé en France, particulièrement en agriculture, on le retrouve partout aujourd’hui : dans l’eau, dans les aliments et même dans le corps humain. La France se donne trois ans pour en finir.
Tout le monde connaît l’herbicide Roundup de Monsanto sans savoir pour autant que sa matière active est le glyphosate, un produit classé « cancérogène probable » en 2015 par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC). Il faut savoir que cet herbicide est nocif même à de très faibles doses. La France en est cependant une grande consommatrice : plus de 9 000 tonnes y sont pulvérisées chaque année. Rien d’étonnant donc que ce produit chimique se retrouve dans l’eau, dans le sol, dans les aliments et même dans le corps humain.

Une promesse du gouvernement

Après le vote européen de novembre 2017 qui a reconduit pour cinq ans l’autorisation d’utilisation du glyphosate (malgré l’opposition de nombreuses ONG, alertant sur les risques pour la santé et l’environnement), Emmanuel Macron a promis d’interdire ce produit en France « dès que des alternatives auront été trouvées et au plus tard dans trois ans ». Et ces alternatives existent comme le montre un rapport de l’INRA (Institut national de la recherche agronomique) commandé par le gouvernement et publié début décembre 2017, peu après la promesse du Président de la République.
Comment se passer du glyphosate ? en utilisant des alternatives techniques comme le désherbage mécanique ou le labour que de nombreux agriculteurs, notamment en agriculture biologique, utilisent déjà. « Une analyse des pratiques, à partir des données des 3000 fermes du réseau Dephy Ecophyto, montre que des agriculteurs utilisent déjà ces leviers. Ils sont donc possibles et même économiquement viables » rapporte l’INRA. Certains affirment même obtenir de meilleurs résultats économiques.
Alors pourquoi le glyphosate est-il encore utilisé par une majorité d’agriculteurs ? Parce que c’est un produit facile d’utilisation et bon marché pour nettoyer les champs, vergers et vignes des herbes indésirables. Aussi son épandage est préféré à toute autre méthode qui demande plus de temps et d’énergie. Les chercheurs de l’INRA redoutent d’ailleurs qu’il soit remplacé par un autre herbicide s’il vient à être interdit, tellement l’habitude de recourir à ce type de produit est installée.
 

Vers un changement profond des pratiques agricoles

Pour se passer du glyphosate, le vrai changement consiste à adopter d’autres pratiques agricoles. Mais cela va prendre du temps… « Couvrir un ensemble d’objectifs économiques, sociaux et de préservation de l’environnement et de la biodiversité est un défi technique, c’est pourquoi le rythme de transition à envisager devra donc prendre en compte des difficultés et impasses » explique le rapport de l’INRA. « L’adaptation à un arrêt du glyphosate passe et passera par des changements profonds. Le déploiement des pratiques nouvelles doit être envisagé sur toutes les exploitations, quelle que soit leur taille, et notamment celles de grande taille. Et nombre de ces changements sont compatibles avec une réduction de la dépendance aux herbicides au-delà du seul glyphosate. (…) La transition vers l’absence de glyphosate sera aussi facilitée par une adaptation de la demande des consommateurs et l’harmonisation des pratiques entre pays européens pour limiter les distorsions de concurrence ».
 

L’agriculture biologique montre la voie

Le meilleur moyen pour se protéger du glyphosate reste encore l’agriculture biologique qui interdit son utilisation ainsi que tout autre produit chimique toxique.
Plus d’un million soixante-dix mille signataires dans toute l’Union européenne se sont mobilisés en l’espace de quelques mois (entre février et juillet 2017) autour d’une Initiative Citoyenne Européenne (ICE) pour réclamer l’interdiction du glyphosate. Cet engouement, couplé à une forte progression de la consommation de produits bio, montre à quel point les citoyens européens souhaitent aujourd’hui protéger leur santé et leur environnement des dangers des pesticides en général et de cet herbicide en particulier.
 

L’équipe Bjorg, Bonneterre & Cie

Agriculture Bio : le nouveau règlement européen autorise le retour des semences paysannes anciennes

L’UE a adopté le 22 novembre 2017 son nouveau règlement sur l’agriculture biologique, après 3 ans de négociations à 28. Point fort de ce nouveau texte : il redonne aux agriculteurs bio la possibilité d’utiliser des semences paysannes anciennes, plus faciles à produire en bio, plus nutritives et aux saveurs variées.
 
L’utilisation des semences paysannes, issues d’une sélection ancestrale, avait pris fin avec la révolution verte à l’après-guerre. Des variétés plus productives, mises au point dans les laboratoires des semenciers et de la recherche publique, avaient chassé des champs ces graines qui avaient même été interdites.
Première difficulté en bio : la plupart des semences de laboratoire sont conçues pour se développer avec des apports d’engrais et des traitements pesticides dont certains sont préventifs, car elles sont fragiles. Ces variétés sont donc mal adaptées à l’agriculture biologique qui exclut engrais chimiques et pesticides. D’où des rendements plus faibles et une conduite de culture plus délicate. Les semences paysannes, plus rustiques, seront plus faciles à cultiver en bio.
 
Des variétés mieux adaptées à la culture bio et plus riches en nutriments
Autre difficulté : le faible nombre de variétés autorisées a entraîné une grande uniformisation des cultures et des goûts. Dix variétés modernes de blé tendre représentent par exemple près de 50% des surfaces semées de cette céréale en France.


source : FranceAgriMer

En un siècle, 75% des espèces comestibles ont disparu faute d’être cultivées, selon la FAO. Malgré cela, leur diversité reste incomparable, tant pour les fruits, les légumes que pour les céréales, les légumineuses, les plantes aromatiques, etc. Il est donc probable que des saveurs et des parfums oubliés vont réapparaître dans les cuisines.
Ces semences sont également plus riches sur le plan nutritionnel. Une étude sur les tomates réalisées en 2015 a montré que les teneurs en certains nutriments sont jusqu’à 20 fois plus élevées dans les variétés anciennes (3). Globalement, les variétés de tomates autorisées contiennent 5 à 12 fois moins de nutriments que les paysannes. La tomate n’est pas un cas isolé : le même constat a été fait par exemple pour les concombres, les poivrons, les aubergines.
Grâce à son nouveau règlement adopté le 22 novembre à Bruxelles, qui entrera en application le 1er janvier 2021, l’agriculture biologique va à nouveau jouer un rôle pionnier, cette fois par la réintroduction de variétés anciennes. Si le succès est au rendez-vous, ce qui sera très probablement le cas, il n’est pas impossible que la Commission européenne ressorte le projet d’un nouveau règlement sur les semences, abandonné il y a trois ans, l’ouvrant enfin à davantage de biodiversité.
 

L’équipe Bjorg Bonneterre & Cie

Nous sommes fiers de vous annoncer la création de notre Fondation : la Fondation Ecotone !

Nous sommes heureux d’annoncer le lancement de notre Fondation Ecotone, sous l’égide de la Fondation de France !

Son objectif ?

Encourager et soutenir des initiatives qui œuvrent au développement d’un modèle d’alimentation saine et durable, allant du champ à l’assiette. La Fondation Ecotone s’inscrit pleinement dans l’engagement RSE de notre entreprise, certifiée B Corp™ début 2017, qui promeut depuis plusieurs années une démarche responsable à travers diverses initiatives. Parmi celles-ci, «Tous citoyens !» qui offre la possibilité à nos salariés de dédier une journée de travail par an à une action associative ou caritative.

Pour sensibiliser le plus grand nombre à l’importance d’une alimentation de qualité et accompagner le grand public vers des comportements alimentaires sains et durables, la Fondation Ecotone apportera son soutien à 3 projets majeurs ainsi que d’autres initiatives très concrètes.


Côté gouvernance…

La Fondation sera dotée d’un comité exécutif composé de 4 personnes directement issues de Ecotone, de 2 experts indépendants, Antoine Couturier et Philippe Pointereau, ainsi qu’un invité permanent de la Fondation de France. Ils siègeront 2 fois par an pour faire valider l’avancée des projets en cours et identifier de nouvelles initiatives à soutenir, en cohérence avec la vocation de la fondation.


Les projets que nous soutenons

La Fondation Ecotone va encourager des initiatives permettant à la fois de développer la réflexion, la recherche et l’innovation en faveur de pratiques agricoles durables mais aussi leurs applications concrètes sur le terrain. La Fondation a aussi pour vocation de sensibiliser le plus grand nombre à un modèle alimentaire alternatif.

 

 

Consultez Notre Fondation – Ecotone pour en savoir plus

Bjorg, Bonneterre et Compagnie : l’entreprise du mois dans Grand Lyon Economie

L’entreprise du mois de mars 2018 : Bjorg, Bonneterre et Compagnie à Saint-Genis-Laval

article publié le 06 mars 2018 sur economie.grandlyon.com

 
Chaque mois, la Métropole de Lyon vous propose de découvrir une entreprise innovante et/ou en croissance (PME ou ETI) sur votre territoire. À l’honneur en ce mois de mars 2018 : Bjorg, Bonneterre et Compagnie à Saint-Genis-Laval.
Bjorg, Bonneterre et Compagnie est un groupe de production et distribution de produits alimentaires bio. Implantée à Saint-Genis-Laval, sur le sur le territoire Lônes et Coteaux du Rhône du Grand Lyon, cette entreprise de taille intermédiaire (ETI) assoit son modèle : une alternative à l’alimentation classique

 

Bjorg, Bonneterre et Compagnie, leader français du bio

Bjorg, Bonneterre et Compagnie est une entreprise française spécialisée dans la production et la distribution de produits alimentaires bio. Créée en 1970, sous le nom de Distriborg, l’entreprise est la filiale française d’un petit groupe hollandais, Wessanen, leader européen de l’alimentation biologique.
À travers ses 19 marques dont Bjorg, Bonneterre, Alter Eco, Gayelord Hauser, elle propose des produits biologiques, diététiques et cuisines du monde :

  • en grandes surfaces (80 %)
  • en magasins spécialisés (20 %).

Cette ETI, historiquement implantée à Saint-Genis-Laval, a toujours porté l’ambition de proposer une alternative bio au modèle alimentaire dominant. Le bio représente aujourd’hui 3 à 4 % de l’alimentation en France mais ce taux devrait tripler dans les prochaines années. De quoi assurer un bel avenir à l’entreprise, qui prévoit une croissance à deux chiffres pour les années qui viennent.
L’entreprise développe une politique de responsabilité sociale et sociétale forte, qu’elle a formalisée autour de six grands enjeux :

  • nutrition et naturalité,
  • sensibilisation au bio,
  • pratiques agricoles durables,
  • société ouverte et interactive,
  • collaborateurs et collaboratrices engagé-e-s,
  • respect de la planète.

 

Carte d’identité de Bjorg, Bonneterre et Compagnie

Bjorg Bonneterre et Compagnie en chiffres

  • 1970, date de création de l’entreprise
  • n°1 français du bio
  • 120 nouveaux produits chaque année
  • 340 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2016
  • 450 salarié-e-s, dont 250 salarié-e-s au siège à Saint-Genis-Laval
    • 94 % de l’effectif en CDI
  • 6 sites de production en Europe

Qui dirige Bjorg, Bonneterre et Compagnie ?

Daniel Tirat dirige Bjorg, Bonneterre et Compagnie depuis 2014. Diplômé de l’École supérieure des sciences économiques et commerciales (ESSEC) de Paris, il a auparavant travaillé chez Reckitt Benckiser Italie, Sara Lee, Danone et Les 2 Vaches.
Ce qui me fait lever le matin, déclare-t-il, faire grandir en harmonie la performance de l’entreprise et nos valeurs sociétales, sans concessions.

 

L’implantation de Bjorg, Bonneterre et Compagnie : le choix de la métropole de Lyon

Historiquement créée à Saint-Genis-Laval, l’entreprise s’y est naturellement développée et a choisi d’y construire son nouveau siège social.
« La Ruche », c’est son nom, sortira de terre fin 2018. Grâce à une réserve foncière de 3 ha constructible, ce nouveau bâtiment de 5 400 m² sera construit sur un terrain attenant au siège actuel. L’immeuble vieillissant des années 80 sera ensuite démoli et des places de stationnement seront créées.
La philosophie générale du projet réside dans le bien-être, et sera à la pointe en matière d’organisation collaborative et de travail en mode projet.
 Les premières étapes de la construction de La Ruche en vidéo :

 


Bjorg, Bonneterre et Compagnie développe un partenariat avec l’école d’ingénieurs agroalimentaire lyonnaise l’ISARA-Lyon, qui partage la même vision d’une agriculture durable (accueil d’étudiant-e-s, R&D, participation au Fonds de dotation Terra Isara, etc.


Logo Fondation Bjorg Bonneterre & Citoyens
 

Bjorg, Bonneterre et Citoyens, une fondation pour une alimentation saine et durable

Bjorg, Bonneterre et Compagnie a lancé la Fondation Bjorg, Bonneterre et Citoyens, sous l’égide de la Fondation de France. Son objectif ? Encourager et soutenir des initiatives qui œuvrent au développement d’un modèle d’alimentation saine et durable, allant du champ à l’assiette.
Parmi les projets soutenus par la fondation :

  • Cacao Forest pour encourager un nouveau modèle de culture du cacao ;
  • Ecolo Crèche pour des crèches plus responsables ;
  • Générations Futures pour informer sur l’impact des pesticides sur la santé et l’environnement ;
  • Info’OGM pour veiller à la lutte contre les OGM ;
  • Ludo Bio pour sensibiliser les plus jeunes au bio ;
  • Solagro, pour promouvoir l’agro écologie.

Bjorg, Bonneterre et Citoyens s’inscrit dans l’engagement RSE de l’entreprise, certifiée B Corp™ début 2017, qui promeut depuis plusieurs années une démarche responsable à travers diverses initiatives. Parmi celles-ci, « Tous citoyens ! » qui offre la possibilité aux salarié-e-s de Bjorg, Bonneterre et Compagnie de dédier une journée de travail par an à une action associative ou caritative.
 

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